Ceci est l'heure fatale. L'heure où sonne le glas.
Ne surtout pas se décourager à cause d'un enfoiré de première. C'est dur. Cela fait trois-quatre jours que la barre est revenue, et qu'elle pèse davantage, synonyme d'un stress accru. Je suis une assidue de l'école de stress. C'est peut-être bête. Mais enfin tout ça je l'ai déjà expliqué il y a deux articles. Les larmes aux yeux à retenir toute la journée, les sourires qui ne viennent pas ou qui sont affreusement tordus, si tordus que je me sens fausse, très fausse, les doigts qui se tordent, et surtout, ce sentiment qu'on dirait devenu tangible, palpable, qui se loge dans ma poitrine. Je pourrais presque converser avec et c'est la première fois qu'une telle chose se produit. Ce regret si présent mélangé au désespoir.
Mais ici, c'est un blog où je peux me défouler. Ce n'est pas un blog de pleurs et de lamentations.
" Plus criminel que Barrabas
Cornu comme les mauvais anges
Quel Belzébuth es-tu là-bas
Nourri d'immondice et de fange
Nous n'irons pas à tes sabbats
Poisson pourri de Salonique
Long collier des sommeils affreux
D'yeux arrachés à coup de pique
Ta mère fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique.
Allez le premier qui trouve l'auteur sans tricher, je le félicite ! Je suis quelqu'un de naïf alors j'ai l'audace de croire que vous ne profiterez pas de nos magnifiques moteurs de recherche présents sur le net. C'est trop rapide comme ça.
EDIT : Bravo à Dev.Ious qui a trouvé en suivant les petits indices. C'est bien Apollinaire.
Photo de Lauren rabbit
Oui, mais de travers! XD
Ceci dit, je ne pourrais dire qui a écrit le texte.
De toute façon, je suis mauvaise pour associer des auteurs avec leurs textes XD